Rukai à Peijing

Je voyais déja les édifices au cime des montagnes.Jétait enfin arrivé à Peijing ...
Je marchais toujours à la recherche de quelqu'un qui pourrait m'informer sur l'examen des Hunter.

Vous entrez dans le centre ville de Peijing, animé par ses nombreuses activités urbaines toutes uniques. Vous approchez d'une foule de personnes. Vous vous approchez pour voir. Vous voyez un homme.

- Ceux qui veulent me défier au bras de fer, approchez!! 5 jénis pour une partie, et si vous me battez, vous empochez le double!! Approchez!

Vous entendez le murmures des gens.
"Il n'a jamais perdu...bla bla...Il est invincible..."

Je m'aproche du mec en le regardant d'un air méfiant..
-Si je gagne tu me donne TOUT ton argent,et ton chapeau ...
Je m'aproche du gaillard en le fixant sans cesse avec un sourir

Vous prenez place sur un petit banc un en face de l'autre. Vouz acotez vos coudes droit sur la petite table en bois et vous vous emoignez les mains.

Pendant que l'homme en face de moi me lance des provocation sen cesse,je sort discrètement mon wakizashi de mon manteau et le pointe sur un genou de l'homme. <<Go!>> Cria t'il.
J'enfonce mon arme dans sont genou des qu'il commence à forcer.Je lui chuchote : Si tu dit quelque chose,je te tue...

L'homme crispe le visage incescement. Il gémit légèrement et prend un grande et longue respiration.

- J'abandonne... Et enlève moi ce sabre, je t'en prie!!

Je fait un léger sourir tout en me levant. Je lui ten la main en attendant ce quil me doit ...

L'homme se penche vers la gauche et se relève avec son porte-feuille dans la main et son chapeau dans l'autre. Il tend ses mains vers vous.

Je prend ses truc,me retourne,et continue mon chemin avec toujours le même sourir.
Un peut plus loin,je jete le chapeau dans une poubelle et continue ma route.

Vous passez devant une ruelle sombre. Vous suprenez la conversation de deux hommes.

- bla bla... L'examen de hunter... "Walls of fashion"... Magasin... Phrase spéciale" non, j'aimerais votre aide pour le trouver" au commis... bla bla...

Au même moment, vous levez les yeux et apercevez une affiche. "Walls of Fashion" est écrit.

- C'est deux taffiole pourrons surment m'aider...
Je me retourne vers les deux hommes en pleine discussion.
Je me dirige vers eux d'un pas déterminer.
Face à eux,les deux gaillards ce retournent vers moi.
- Que saver-vous de l'examen des Hunters?

Le plus balèze bombe le torse.

- Et toi? Qu'est ce qu tu fous à écouter les conversations, enfoiré?!

- Je croit que tas pas bien compris ma question...
Quest-ce que tu sais de l'examen de Hunter!
Dit-je d'un ton ferme en lui pointant mon flingue sous la gorge.

L'homme tente de vous frapper au ventre avec son poing gauche.

Je tente d'attraper le poing de l'homme avec ma main gauche et de frapper l'homme au visage avec mon arme.

Votre manoeuvre est réussite. Vous empoignez le canon de l'individu (pas celui que vous pensez^^) et votre pistolet se retrouve étampé dans son visage. L'homme fait quelques pas en arrière et se frotte la joue gauche en gémissant. Son arme est à terre. Il fonce sur vous, le poing brandi. Son compagnon reste figé.

je pointe mon pistolet vers lui et je tente de lui tirer au niveau
de l'épaule.

Sous la puissance de l'impact, le canon de votre Aigle du Désert vibre. Le projectile passe à travers l'épaule de l'homme, qui virvolte vers le sol en criant, tout en essayant de stopper l'énorme hémorragie. La flame intense de votre arme lui brûla légèrement le visage.

je m'approche de l'homme qui gémis par terre avec mon pistolet
en main. Il me regarde avec pitié.
J'ampoigne la veste de ce rat d'égout puis lui pointe mon arme
dans en pleine figure.
- Pour la dernière fois... Quest-ce que tu sais de ce putin d'examen!?

- Tu dois te rendre... Sniff!!... Dans le magasin "Walls of Fashion" et t'approcher du commis... Il te dira alors "Est ce que vous avez trouvé ce que vous cherchez?" et tu dois répondre "Non, j'ai besoin de votre aide pour le trouver..."
C'est tout ce que je sais... Lache moi s'il te plait...

Mon visage prend une tournure neutre,je lousse un peut
ma poigné sur les vêtements du tas de charogne.
Je prend un grand élan avec mon bras (celui dont je tien mon arme) et le rabat vers la figure de l'homme pour lui infligée le coup de grâce.

Le coup s'abat sur la machoire du déchet humain. Sa tête fais un 180 et se cogne contre le sol. Il perd alors connaissance.

Je me retourne vers l'autre peureux.Il semble térrorisé.
- Toi! Fout le camp ou jte dégomme,et emporte ta pourriture avec
toi si tu tien à la revoire!

l'homme apeuré empoigne son compagnon et l'êmene quelques rues plus loin.

Je retourne devant le Wall Of Fashion.
Jentre de facon timide dans ce magazin ou tout le monde
semble si jovial...Japercois au loin du magazin une femme à la caisse.

- Ca doit être le commis dont la charogne parlais...

Je me pointe devant la caisse.